Le 7 février 2024 marque une étape significative pour l’Auvergne-Rhône-Alpes, avec la signature de Pactes Région visant à stimuler le développement et la dynamique des départements de l’Allier, de l’Ardèche, du Cantal et de la Haute-Loire. Ces accords, fruit d’une collaboration entre la Région et les Départements concernés, reflètent un engagement envers l’équité territoriale et le développement durable de ces zones.
La volonté de la Région est de garantir une distribution équitable des ressources, assurant ainsi que les départements moins peuplés ne soient pas laissés pour compte.
Les sommes engagées par ces pactes sont conséquentes et témoignent de l’ambition de ces projets :
- Haute-Loire : Plus de 212 millions d’euros ont été alloués pour préparer l’avenir du département, suite à l’accord signé le 3 février 2024 entre Laurent Wauquiez et Marie-Agnès Petit.
- Ardèche : 248 millions d’euros vont être investis, conformément au pacte signé le 2 février par Laurent Wauquiez et Olivier Amrane.
- Allier : Un investissement de 197 millions d’euros, suite à l’accord du 19 janvier entre Laurent Wauquiez et Claude Riboulet.
- Cantal : Le Cantal bénéficiera de 150 millions d’euros pour son développement futur, grâce au pacte signé le 17 décembre 2022 par Laurent Wauquiez et Bruno Faure.
Ces investissements visent à répondre aux enjeux de chaque territoire, en mettant l’accent sur l’attractivité, le développement économique et social, ainsi que sur la préservation de l’environnement. Les pactes régionaux constituent ainsi un levier majeur pour la transformation et le renouveau de l’Auvergne-Rhône-Alpes, en assurant un développement harmonieux et durable de ses territoires.
Bien que l’initiative cherche à promouvoir l’équité territoriale, la vraie question est de savoir si ces pactes peuvent réellement répondre aux besoins spécifiques de chaque territoire de manière efficace. Les défis auxquels sont confrontés l’Allier, l’Ardèche, le Cantal et la Haute-Loire sont complexes et diversifiés, nécessitant des solutions sur mesure plutôt que des approches généralistes.
